Edwin, 28 ans. Je suis breton, en Ille-et-Vilaine (35).
Je suis autiste léger atypique, diagnostiqué à 16 ans.
L’accès à l’information pour la citoyen.ne moyen.ne est un parcours du combattant. Sans professionnel pour nous informer directement, c’est très opaque. Et même pour ces professionnels, il est des fois casse tête d’y voir clair. Sans oublier que sois nous devons nous référrer à des professionnel.les libéraux qui nous coûtent chère, sois à des professionnel.les dans le publiques qui prennent un temps fou, sont totalement débordés, et les démarches pour y accéder sont un autre casse-tête. Sans oublier qu’il faut savoir que ces professionnels existent, pour commencer. Cela donne des situations d’une absurditée totale, où un.e professionnel.le en libéral, financer en partie par l’état pour compenser un.e citoyen.ne handicapé.e, doit constamment se renseigner voir harceler les services publiques pour avoir ne serait-ce qu’un renseignement. L’état dépense donc de façon innéficace l’argent du contribuable parce que les droits de chacun.es sont opaques et illisible, parce que ses services publiques ne sont pas à la hauteur, et que même les fonctionnaires s’y perdent. L’état se repose et se conforte dans l’idée que des associations feront le travail à sa place. C’est donc du service gratuit au frais des citoyen.nes, et do,c des économies grotesques, innioble et même pas effective que fait ici l’état.
Ceci étant dis, je condamne fermement les reflexes politiques de supprimer des services publiques essentiels à nos droits pour les privatisé voir de carrément les supprimés. Il nous faut plus de personnes dans le service publique, plus de moyens, moins de papiers, moins de procedures. Et en bonus, moins d’hypocrisie.
Les délais sont infernaux, au point que plusieurs dossier se succèdent et s’entassent, et le premier dossier est tellement daté qu’il ne correspond plus à la réalité du dernier.
Les contacts sont rares, compliqués, souvent long parce que confus, surchargés, et frôle l’incompétence à se frapper la tête contre un mur.
Les dossiers s’enchaînent, se complixifie et s’alourdissent au fur et à mesure de X ou Y procédure(s). Il est (très) difficile de décryptés les informations que l’on veux de nous. L’interprétation est abominable. Les questions sont bizarrement tournées et flou.
Le tas de paperasse grossis à tel point qu’il en devient non seulement une gâchis de temps mais aussi écologique, avec un manque de numérisation de l’ensemble de ces papiers des fois aussi épais qu’un roman. Sous nous toujours à l’époque du FAX? C’est à se demander. Mais l’état est très fort pour demander de ses citoyens sont dût financier (et magiquement toutes les informations, là on a pas besoin de les donnés) mais il devient soudainement sourd et aveufle quand il s’agit de donner. Sans compter que bien entendu, ces dossiers sont déposés en compte goutte dans la boite au lettre (histoire de faire déplacer la poste à chaque fois), avec des doublons voir plus, que les services publiques n’ont l’air d’avoir aucun lien entre eux, que l’on nous demande pleins de papier que devons aller chercher à droite à gauche pour ensuite demander au citoyen de faire des efforts sur ses déchets et émissions. L’hypocrisie d’état est totale.
Ceci étant dis, je condamne fermement les reflexes politiques de supprimer des services publiques essentiels à nos droits pour les privatisé voir de carrément les supprimés. Il nous faut plus de personnes dans le service publique, plus de moyens, moins de papiers, moins de procedures. Et en bonus, moins d’hypocrisie.
La MDPH est un maillon essentiel de nos services publiques et de la vie citoyenne en France, qui prône l’égalité pour toutes et tous.
Ceci étant dis, je condamne fermement les reflexes politiques de supprimer des services publiques essentiels à nos droits pour les privatisé voir de carrément les supprimés. Il nous faut plus de personnes dans le service publique, plus de moyens, moins de papiers, moins de procedures. Et en bonus, moins d’hypocrisie.
Quand allons-nous nous séparer de la psychanalyse en France?
La phychanalyse est une pseudo science, reconnu et bannis par moultes pays, contribue au mal être, à l’enfoncement voir au suicide de personnes qui sont déjà dans un handicap ou un mal être psychologique.
Il est temps que la science reprennent fermement ses droits.
Si l’école est fondatalement importante, il n’y a rien à garder de notre système actuel.
C’est un enfer carcérale (d’ailleurs les batisses en ont bien le look), obscure, froid, maltraitant, compétitif maladif, qui nous éduque à être un employé docile, nous enseingne l’autorité par la force et la soumission, et nous demande ce que l’on « veut faire lorsque que l’on sera grand » (bien entendu, en tant qu’employé docile).
Tout comme nos prisons, nous les déléguons à des intérêts privés, qui sont des fois avec des biais religieux, ce qui est fondatalement anti-laïque, liberticide et inégalitaire.
Jamais ou très peu sommes nous confrontés à l’éducation civique, jamais l’auto-détermination n’est abordé, jamais nous ne sommes confrontés à nos droits (bien plus à nos devoirs), jamais n’est enseigné notre défense, ou l’esprit critique. Nous devons être l’object d’évaluations pour mieux nous enfermés dans des petites cases où personne ne rentre. Donc on vous y tasse, et de force. Si vous ne rentrez pas dans les cases malgré tout, même brisé, alors vous en êtes exclus, condamné à pas avoir le savoir. Il n’y a pas de place pour le développement et l’enrichissement personnelle, il n’y en a que pour la prochaine grande entreprise dans lequel vous serez l’employé sous-payé. D’ailleurs on nous enseinge à bosser d’arrache-pied au prix de notre santé. Qu’importe le sens ou la validité d’une telle logique ultra-compétitive. Encore moins la politique n’y est abordé, il ne faudrait pas que le/la citoyen.ne sache à quelle sauce il va être manger. Jamais la réalité de la vie n’y est enseigné, et le choc pour chacun.e.s n’en est que plus brutal.
Le facteur de l’handicap n’est qu’un multiplicateur de souffrance, mais tout citoyen.ne(s) y est broyé.es.
Comme nous sommes éduqués à l’école à être un employé docile, bien entendu que France Travail y participe. Et au bâton. Il faut renouvelés tous les mois ta participation à France Travail. Gares à toi!
Aucune place réelle n’est pour la diversité ou la différence ne serait-ce que par des ratios froid, indifférents et calculés. Nous sommes des nombres, des chiffres. Et ceux, encore, dans des petites cases. Il faut rester dans la « réalité économique », peu importe la maltraitance sociale. Peu importe l’absurde. Les soit-disants formations pour personnes handicapés ne sont qu’un ragou d’handicaps sans rapport, et qui n’ont pas les mêmes besoins. C’est tellement plus façile de nivelé par le bas. Tu n’a pas eu ton papier attestant de tes soit-disant conaissances que t’as oublier juste après le controle, parce que t’en avais plein le dos? Alors tu ne peux pas accéder à un emploi, tu n’as aucun recours pour tes rattraper tes connaissances. Ou alors faut retouner à l’enfer carcérale de l’école. Ou alors tu ments sur ton CV.
Le facteur de l’handicap n’est qu’un multiplicateur de souffrance, mais tout.es citoyen.ne(s) y est broyé.es.
Sacréfié.e.s de la république, ils sont nombreux à aider leurs enfants, peu importe le prix. Physique, mental, matériel et financier. Ils s’oublient pour que subsiste correctement l’aidé. Et même là, l’aidé ne s’en sort qu’avec une dignité amoindris, il se coupable, tributaire, redevable. Il n’a que toute sa vie, un dête sociale, morale qu’il nous pourra jamais payer.
Jamais les aidants ne sont valorisés: « C’est normal ». La phrase de ceux qui ne veulent rien faire. La phrase de ceux qui veulent laisser les aidants se tuer pour son, ses proche(s) handicapé(s). Qu’en est-il de la vie de misère que les aidants vivent au quotidien parce qu’ils ne peuvent pas travaillés? Qu’en est-il de leurs retraites? Et qu’on ne me parle pas de la misère, des miettes qu’est la PCH.
Les aidant.e.s, ce ne sont rien des professionel.les de l’aide impayés.