Autiste et SED en fauteuil en électrique, 61 ans, activiste anti validiste et présidente bénévole d’une association de défense des droits et élue d’opposition. Spécialiste des politiques handicap et accessibilité
Inaccessibilité organisée depuis 50 ans avec la complicité de l’Etat , des collectivités et des organisations gestionnaires d’Ets spécialisées qui n’ont aucun intérêt à permettre la vie autonome
parcours du combattant qui nécessite un niveau d’expertise que 99% des handi n’ont pas et qui permet de bafouer les droits avec des MDPH CAF et SS qui ne respectent même pas le cadre légal et réglementaire pourtant très limitatifs
Ne respectent pas le cadre légal et réglementaire, agents insuffisamment formés, trop peu nombreux, CDAPH qui décident avec un maximum d’organisations gestionnaires qui orientent illégalement vers des Ets spécialisés, absence de débat contradictoire pourtant obligatoire, absence de PPC et de convoc devant la CDA, absence de motivation explicite des décisions, non respect del a procédure d’urgence, etc..
Les établissements spécialisés sont des lieux de privation de liberté selon l’ONU et le sous-comité de prévention de la torture mais la France continue à financer ces solutions au détriment des services de proximité permettant la vie autonome comme le demande le droit international. Les familles n’ont pas vraiment le choix
L’école inclusive n’existe pas faute de petits effectifs, d’enseignants formés et de solutions accompagnement médico sociaux et éducatifs au sein de l’école comme cela se fait dans d’autres pays
Ce sont les personnes handicapées qui sont sommées de s’adapter et non le contraire, les moyens de compensation sont insuffisants et trop long à obtenir. L’argent du FIPHFP et de l’AGEFIPH finance des campagnes de communication mensongère de la part des entreprises. De + plus une entreprise crée du handicap en interne moins elles payent donc mécanisme vicié
Ils ne devraient avoir qu’à jouer le role de parents et non se retrouver à suppléer les carences du système en se transformant en soignants et accompagnants à la place des professionnels que les pouvoirs publics ne financent pas suffisamment et correctement. Tout est organisé pour pousser à institutionnalisation
La loi de 2005 n’est pas conforme à la convention ONU et la France continue à refuser les réformes nécessaires à commencer par cesser de laisser les gestionnaires représenter les personnes handicapées malgré le conflit d’intérêt dénoncé par l’ONU